Pour essayer d’articuler deux ou trois phrases, nous avons décidé de prendre un cours de japonais. Rendez-vous avec Akari dans un café avec vue sur la ville. Bon, après 1h30 de cours, on va pas forcément lire Murakami dans le texte, mais au moins on arrive à dire bonjour, au revoir, merci, à compter, bref le minimum…
Bref, très instructif, on apprend aussi à comprendre comment fonctionnent les alphabets (il y en a trois…) et comment ça s’utilise. Et c’est aussi l’occasion de discuter avec quelqu’un de Kyoto, ce qui est en fin de compte assez rare, à part les contacts dans les magasins, musées et restaurants.