Venise sans ses touristes doit être étrange. Pas un chat sur le Pont des Soupirs, on peut marcher sans se faire bousculer dans les ruelles du centre… Il y a quelques années, avant le virus, il était déjà possible de vivre cette expérience particulière: en prenant le train au départ de Lausanne par une matinée de janvier, on arrivait dans une ville presque en hibernation, où, au prix d’une lutte contre le froid humide, on pouvait arpenter et découvrir une Venise calme et presque endormie. Nostalgie en photos
